Objet no : SCP-313-FR
Niveau de Menace : Jaune ●
Classe : Euclide
Procédures de Confinement Spéciales : SCP-313-FR doit être confiné dans une cellule de 50 (cinquante) mètres carrés minimum et modifiée de façon à la rendre similaire à l'habitat naturel de SCP-313-FR. SCP-313-FR doit être nourri une fois tous les deux jours avec un (1) kilogramme de viande crue, à disposer par des moyens contrôlés à distance, à différents emplacements de sa cellule.
Sauf dans le cadre de tests, SCP-313-FR ne doit en aucun cas rentrer en contact visuel mutuel, direct ou indirect, avec un être animal ou un membre de la Fondation.
Les tests doivent être menés par au moins deux personnes, un chercheur de niveau 2 supervisant le test derrière une vitre sans tain1 et un agent armé d'armes tranquillisantes dans une salle sans accès visuel à SCP-313-FR. Si le test implique un individu humain, une autorisation d'un chercheur de niveau 3 est nécessaire.
Si un membre du personnel est suspecté d'être sous l'emprise de SCP-313-FR en dehors de cadre d'un test, toute interaction avec SCP-313-FR doit être immédiatement suspendue et la personne affectée mise en quarantaine pendant 72h minimum.
Description : SCP-313-FR est un loup gris (Canis lupus) mâle, mesurant quatre-vingt-cinq (85) centimètres au garrot et cent vingt (120) centimètres de long. À la date de rédaction du rapport, son âge est estimé entre 4 et 5 ans et son apparence est indissociable de celle d'un membre non anormal de son espèce.
Son anormalité réside dans sa capacité à pouvoir exercer ce qui semble être un contrôle mental sur des membres d'autres espèces de mammifères afin de former une meute dont SCP-313-FR serait le mâle Alpha. Les individus sous son contrôle, dénommés par la suite SCP-313-FR-1, conservent leurs capacités physiques et mentales. Leurs capacités intellectuelles sont cependant limitées à un niveau qui a été estimé équivalent à celles d'un loup non anormal. Les instances de SCP-313-FR-1 semblent se répartir selon une hiérarchie interne correspondant aux différents rangs observés dans une meute de loups non anormaux, c'est à dire un rang Bêta qui seconde SCP-313-FR, un rang Oméga tout en bas de la hiérarchie et un rang Gamma pour les membres au milieu de la meute.
Les tests effectués mettent en valeur que SCP-313-FR est conscient de ses capacités et s'en sert volontairement. Lorsque SCP-313-FR cherche à agrandir sa meute, la création d'une instance de SCP-313-FR-1 se fait en plusieurs étapes :
- Un contact est établi entre SCP-313-FR et un sujet mammifère. Le contact peut être visuel, olfactif ou tactile.
- Un contact visuel est considéré comme établi si l'interaction est mutuelle. Cette interaction fonctionne aussi malgré un obstacle entre l'anomalie et le sujet (voir Incident 313-FR-A).
- Un contact olfactif est considéré comme établi si le sujet est proche de l'origine olfactive d'une trace laissée par SCP-313-FR.
- Une fois le contact initial établi, le sujet est toujours libre de ses mouvements et pensées, mais éprouve un intérêt croissant pour SCP-313-FR et va diminuer l'intensité de ses réactions visant à briser le contact établi. Il répond cependant toujours aux stimuli extérieurs de façon cohérente et appropriée.
- Après un temps variable, dépendant de l'intensité du contact établi et de la proximité phylogénétique du sujet avec le loup gris, le sujet va chercher à rejoindre physiquement SCP-313-FR. Si le chemin d'accès lui est visible ou connu, il l'empruntera, quitte à rompre le contact établi. Sinon, il reste à observer les environs à la recherche d'un moyen d'accéder à SCP-313-FR. Si le sujet parvient à établir le contact physique avec SCP-313-FR, son comportement change et le sujet devient une instance de SCP-313-FR-1.
Une instance de SCP-313-FR-1 se reconnaît à son profil comportemental cohérent comme celui d'un loup non anormal, incluant :
- Un attrait pour la nourriture carnée crue, y compris dans le cas d'individus d'une espèce normalement végétarienne. A noter que dans ce cas, les instances de SCP-313-FR-1 en mangent, en plus de la nourriture habituelle de leur espèce.
- Une communication par grognements, gémissements, aboiements et hurlements si les cordes vocales de l'instance le permettent, ainsi que par une gestuelle propre aux espèces canidés.
- Une attitude de soumission canine (baisse du regard, exposition du bas-ventre et mise en vulnérabilité) vis-à-vis de SCP-313-FR ou des autres instances de SCP-313-FR-1 en fonction du rang hiérarchique.
- Un comportement social recherchant le contact des membres des autres instances de SCP-313-FR-1 et de SCP-313-FR. Ce trait est un excellent indicateur pour les espèces à comportement social normal solitaire.
- Une absence presque parfaite des besoins de reproduction, s'illustrant par une absence de phases de chaleurs ou de rut pour les instances concernées.
À noter que SCP-313-FR ne cherchera pas à créer de nouvelles instances de SCP-313-FR-1 s'il en existe déjà un nombre qu'il semble estimer suffisant (dans les conditions de confinement, ce nombre est de 4 à 5 instances). Dans ces conditions, une interaction avec SCP-313-FR ne présente aucun risque autre que ceux inhérents à son espèce et à la présence des instances de SCP-313-FR-1 autour.
Si une instance de SCP-313-FR-1, ci-après le sujet, est isolée des autres instances et de SCP-313-FR, elle va présenter toutes les caractéristiques d'une panique et chercher à rejoindre le reste de la "meute" par tous les moyens dont elle dispose.
Au bout de 24h d'isolement, le sujet va commencer à présenter des signes de désorientation. Au bout de 30h, pendant quelques secondes à chaque fois, le sujet aura un comportement associé à son espèce naturelle. Ces phases seront de plus en plus fréquentes et de plus en plus longues. Si l'isolement est rompu durant cette période, que ça soit par SCP-313-FR ou les autres instances de SCP-313-FR-1, le sujet reprend pleinement son comportement anormal.
Après 54h, le comportement associé à une instance de SCP-313-FR-1 aura disparu, laissant uniquement place à un comportement normal pour l'espèce du sujet. Le contact avec une autre instance de SCP-313-FR-1 n'aura aucun effet sur le processus de rémission du sujet. Cependant, le contact avec SCP-313-FR aura toujours pour effet d'interrompre la rémission.
Si l'isolement se prolonge encore 24h après la disparition des symptômes, la mise en contact du sujet avec SCP-313-FR résultera en la succession des différentes étapes associées à la transformation en instance de SCP-313-FR-1, avec des délais réduits par rapport à la première fois. De fait, on peut considérer qu'après un total de 78h d'isolement, une instance de SCP-313-FR-1 sera "guérie".
Découverte : SCP-313-FR a été confiné par la Fondation le 09/04/2018 dans la zone nord-ouest du parc de Yellowstone (USA). Un mois plus tôt, un rapport des ranger locaux a fait état d'une action coordonnée de plusieurs individus d'espèces différentes ne se côtoyant pas en temps normal, rapport qui fut remonté à la Fondation par un agent sur place. Suspectant une action induite par SCP-877, la Force d'Intervention Mobile Rhô-1 ("Les Professeurs"), formée à cette situation, a été dépêchée sur place. Mais l'absence de signal radio a conduit le commandant des opérations a émettre l'hypothèse d'une autre anomalie responsable de la situation. Après 48h, la meute originelle de SCP-313-FR a été identifiée et l'analyse comportementale a confirmé qu'il ne s'agissait pas d'une nouvelle instance non confinée de SCP-877. La Force d'Intervention Mobile Rhô-1 a alors laissé sa place à la Force d'Intervention Mobile Oméga-16 ("Les Quat'Sous") qui a été chargée de sa récupération.
La meute anormale était formée par:
- Un loup gris (Canis lupus) mâle en tant que chef de la meute (rang Alpha), SCP-313-FR
- Un grizzly (Ursus arctos horribilis) femelle semblant occuper le rang de seconde de la meute (rang Bêta), nommée SCP-313-FR-1-A
- Une jeune femme humaine, semblant occuper un rang moyen (rang Gamma) Elle a été identifiée comme étant Marie ██████, originaire de ██████████████████, France, déclarée disparue il y a 3 ans après son séjour dans le secteur sud-ouest de Yellowstone, nommée SCP-313-FR-1-B
- Un lynx du Canada (Lynx canadensis) mâle, semblant occuper un rang moyen (rang Gamma), nommé SCP-313-FR-1-C
- Un glouton (Gulo gulo) mâle juvénile, semblant occuper un rang moyen (rang Gamma), nommé SCP-313-FR-1-D
- Un castor du Canada (Castor canadensis) femelle, semblant occuper un rang moyen (rang Gamma), nommée SCP-313-FR-1-E
- Un wapiti (Cervus canadensis) femelle adulte, semblant occuper le plus bas rang hiérarchique de la meute (rang Oméga), nommée SCP-313-FR-1-F
Les analyses des méthodes de chasse employés par la meute avant sa capture ont montré :
- L'emploi d'une chute d'arbre, affaibli par le castor et poussé par le grizzly, pour affoler un troupeau d'animaux non prédateurs et limiter ses possibilités de fuite.
- La présence du lynx et/ou du glouton dans les branches basses placés en embuscade.
- L'envoi du wapiti, du castor ou de l'humaine à des fins d'observation à proximité de cibles de chasse potentielles ou en rabattage.
- Les capacités de préhension élevées de l'instance humaine pour faciliter le transport de proies mortes vers l'intérieur du territoire délimité de la meute.
Après le confinement initial, l'instance humaine, SCP-313-FR-1-B, a été isolée du reste de la meute pour une tentative de communication. Ceci a permis de constater la possibilité d'une reprise de conscience des instances et a permis de comprendre la nature de l'anomalie.
Rapport sur la réintégration de SCP-313-FR-B à la vie civile.
Le superviseur de l'isolement de SCP-313-FR-1-B est le Dr █████████, spécialiste en comportement animal. Le temps T = 0 correspond au moment où le sujet est séparé du reste de la meute après la mise en confinement. Pendant les périodes de repos du superviseur, c'est l'assistant-chercheur ██████ qui note les changements.
Temps après séparation | Actions du sujet | Notes de l'équipe de surveillance |
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30 minutes | Le sujet est placé en salle d'isolement pour humanoïdes standard dotée d'un système de microphones et de haut-parleurs permettant un échange avec le sujet depuis les salles de surveillance, ainsi que d'une trappe pour l'échange d'objets. Le sujet commence à fouiller l'ensemble de la pièce. Aucune réaction particulière n'est à noter. | Le comportement visible est typique de celui d'un être animal conscient qui vient d'être installé dans un nouvel environnement. La nudité du sujet ne semble pas la déranger. |
3 heures | Le sujet montre des signes important de détresse et semble chercher à vouloir traverser le mur Est en griffant le mur.2 Des traces de sang issues de ses tentatives sont à présent visibles sur le mur Est. Les sollicitations orales ne provoquent toujours pas de réaction particulière de la part du sujet. | En absence de sortie visible, le sujet cherche à vérifier la solidité de sa prison. L'acharnement sur un seul des murs est inhabituel mais a déjà été observée sur des individus non anormaux. |
9 heures | Le sujet semble s'être assoupi d'un sommeil léger collée contre le mur est. La moindre sollicitation sonore provoque un mouvement de sa part pour observer les alentours mais en l'absence de changement visible, reprend sa posture assoupie. | Un repos léger, jamais complet. Comportement normal pour un individu en environnement inconnu. |
15 heures | Un plateau repas composé notamment d'aliments cuits et d'autres crus et dépourvu de couverts, est inséré dans la cellule à travers la trappe prévue à cet usage. Le sujet s'y dirige immédiatement pour analyser l'alimentation fournie en utilisant notamment ses doigts et son nez. Après 15 minutes, elle boit une partie de l'eau et mange les aliments crus, laissant de côté ceux qui sont cuits. Le sujet reprend ensuite ses tentatives de creuser le mur Est. | Le sujet va alterner entre les phases de repos et les phases d'activité. Cependant, l'acharnement sur le même obstacle depuis maintenant 12 heures est anormal. J'ai demandé une vérification de la structure du mur mais aucune différence n'a pu être détectée avec les autres parois. |
24 heures 05 minutes | Pendant une phase d'activité, le sujet a arrêté de creuser et est restée immobile pendant 13 secondes, avant de reprendre le cours de ses actions. Une sollicitation orale semble à présent provoquer une légère désorientation. | La désorientation particulière est visible lorsqu'on essaye d'appeler le sujet. Un bruit d'une autre nature ne semble pas provoquer cette réaction. |
29 heures | Un second plateau repas est fourni au sujet, de composition identique au précédent. Le regard du sujet se dirige plusieurs fois vers la nourriture cuite pendant son repas. | Les désorientations sont de plus en plus fréquentes. Un début de pudeur semble commencer à être visible lors de ces phases de désorientation à en croire les tentatives de prendre les draps du lit pour s'en couvrir. Je recommande cependant une surveillance active, il se pourrait que le comportement anormal du sujet soit en train de se dissiper. |
32 heures 24 minutes | Le sujet a prononcé ce qui semble être le mot "Que" avant de retourner à son mode de communication animal. Le sujet se drape dans un drap qu'elle laisse tomber de moins en moins souvent. | C'est le premier signe tangible de la dissipation de l'influence anormale. Ce son n'est pas émis naturellement par les espèces canidés. Si ces moments de conscience se prolongent, je tenterais d'interroger le sujet. En attendant, je vais demander une fourniture en vêtements. |
35 heures | Le sujet porte les vêtements fournis de manière confuse et parvient à prononcer de courtes phrases construites. Les mots sont prononcés en français. Elle répond aux sollicitations orales mais ne semble pas capable de tenir correctement une conversation. Voir Interview 313-FR-1 pour la première tentative d'une discussion construite. | Une demande de vêtements appropriés a été demandée pour le sujet. Si elle reprend ses esprits, il vaut mieux la mettre en confiance pour espérer une meilleure coopération. |
48 heures | Les phases de mutisme du sujet sont parcellaire, et elle répond de façon appropriée pour un individu humain aux sollicitations orales. Une nouvelle interview est menée. Voir Interview 313-FR-2. A l'issue de l'interview, un autre plateau repas a été fourni, et cette fois-ci le sujet a préféré la nourriture cuite à la nourriture crue. | Je recommande d'essayer d'isoler les autres membres de la meute de SCP-313-FR. Il se pourrait qu'ils soient tous sous influence et il sera plus facile de confiner un seul animal qu'un groupe aussi disparate. Il convient également, si cela est confirmé, de considérer que les individus sous influence soient considérés comme étant des instances de SCP-313-FR-1 et que seul l'un d'entre eux, probablement le loup alpha, soit l'anomalie.3 |
60 heures | La dernière phase de mutisme remonte à un peu plus de 6h. Le comportement du sujet est à présent totalement revenu à la normale. | À ce stade, j'estime que le sujet ne peut plus être considéré comme étant une instance de SCP-313-FR-1. Une demande pour reconsidérer le sujet comme un civil extérieur à la Fondation a été émise. |
Au vu des informations reçues, un retour à la vie civile est engagé pour l'ancien sujet SCP-313-FR-1-B. Un amnésique de classe C est administré au sujet et une couverture de coma anonyme est mise en place pour expliquer sa disparition pendant plusieurs années.
À son réveil, le sujet est rapatrié dans sa ville d'origine et un suivi médical est assuré par le Dr Villers, médecin affilié à la Fondation dans l’hôpital ████ à ████████.
L'échange suivant a été enregistré lors d'une visite de routine quatre mois après le confinement initial de SCP-313-FR.
Interviewé : Ancien sujet SCP-313-FR-1-B, nommé "Sujet" dans l'interview
Interviewer : Dr VillersNotes : Les formules de politesses d'usage et le suivi médical physique n'ont pas été enregistrés.
Dr Villers : Bon, votre corps se remet bien. Vous n'avez pas de problèmes avec les séances de rééducation ?
Sujet : Aucun. Quand je vois la difficulté qu'ont certains autres patients, je me dis que j'ai eu beaucoup de chance.
Dr Villers : À ce rythme, vous pourriez finir les exercices quotidiens dans 3 mois, histoire d'être sûrs que vous n'avez aucune séquelle physique.
Sujet : Oui docteur.
Dr Villers : Et au niveau mental, vous allez bien ? Vous avez réussi à vous habituer aux changements autour de vous depuis votre coma ?
Sujet : Je m'y perds encore un peu je dois dire… Toutes ces histoires qu'on n'imaginait pas il y a 3 ans… Ça fait un choc de se dire qu'on a été coupée du monde pendant si longtemps. Heureusement, peu de choses ont réellement changé au quotidien, je retrouve mes goûts, mes habitudes. Ceux qui m'aident le plus, ce sont mes amis. Ils ne veulent pas me lâcher trop longtemps mais ils agissent comme une ancre. Ils me permettent de me dire que je mérite d'être encore en vie.
Dr Villers : C'est une bonne nouvelle. Et les rêves dont vous me parliez la dernière fois ?
Sujet : Ces rêves qui me laissent une sensation étrange ?
Dr Villers : Oui.
Sujet : J'en ai de moins en moins mais ils semblent toujours aussi réalistes, alors qu'ils sont complètement insensés… C'est normal ?
Dr Villers : Comme je vous l'ai déjà dit, il y a encore beaucoup de choses que nous ignorons à propos du cerveau et principalement dans les conditions particulières du coma. Ces rêves sont peut-être des réminiscences de ce que vous auriez pu rêver pendant votre sommeil. Si ce sont les seules séquelles que vous avez à terme, vous pouvez vous estimer heureuse.
Sujet : Des changements dans les préférences sont normales aussi Docteur ?
Dr Villers : Comment ça ?
Sujet : Depuis mon retour, j'ai envie d'avoir un chien. C'est curieux, avant je ne me voyais pas avoir un animal de compagnie, mais aujourd'hui j'adore les chiens. J'ai même l'impression de les comprendre.
Dr Villers : Des changements de cet ordre ne sont pas forcément surprenant. Et si cela vous permet de mieux récupérer, cela ne peut pas être une mauvaise chose. À condition que vous surveillez vos dépenses, mais ce n'est plus de mon ressort.
Sujet : Aucune inquiétude à avoir donc ?
Dr Villers : Pour le moment, aucune. Tout est en ordre et vous êtes en bonne voie. On se revoit au prochain rendez-vous dans deux semaines ?
Sujet : Très bien. À dans deux semaines Docteur.
Dr Villers : Au revoir, portez-vous bien.
Notes du Dr Villers : L'annonce de la compréhension des chiens par le sujet est peut-être un effet secondaire de son exposition à SCP-313-FR. Si cela se confirme par les tests, nous pourrions profiter de ceci pour notre compréhension de certaines anomalies.
Rapports d'expériences sur SCP-313-FR :
Rapport d'incident 313-FR-A :
Après le test 313-FR-10, le Dr █████████ sembla plongé dans ses pensées et arrêta de répondre aux questions posées par le personnel de sécurité. Il se dirigea ensuite vers la cellule de confinement de SCP-313-FR et commença à taper le code commandant l'ouverture de la porte. Il en fut empêché par le garde en faction puis placé en isolement.
Deux heures après l'incident, le Dr █████████ a semblé se remettre de ses émotions et a déclaré "avoir ressenti l'envie d'aller au contact de ce loup magnifique". Au vu des expérimentations précédentes, il semblerait que SCP-313-FR ait commencé à vouloir mettre sous son influence le Dr █████████ malgré la vitre de protection et la limite précédemment déterminée. Selon les agents présents lors de l'incident, le loup a compris que le personnel de test n'était pas en mesure de l'aider et il s'est alors tourné vers le Dr █████████, qui avait une position dominante.
Les mesures de confinement ont été mises à jour pour empêcher un retour visuel vers la cellule de confinement.