
Day panneaux de le signalisayshion écrits dans le langue d'avant SCP-1970-J
Number de l'objay : SCP-1970-Jay
Niveau de le menace : Verte ●
Classe : Iouclide
Procédioures de le spéshial containment: Aucun taymoin de le anomalie n'ay conniou à ce jour.1 Lay bendeurs de le réalitay évaliouent actiouellemont lay dommages liay à SCP-1970-J. Tiout civil daycouvrant day reliques antérioures à SCP-1970-J doit recevoir ioune amnaysiont tray tray fort de le classe A.2
Descripshion: Le anomalie étayt ioune fissioure de le réalitay elle-mayme, s'aytendant à travers tout lay Zaytats-Ziounis, voire mayme plou loin encore. Nous ponsons que cette derniayre a fondamontalemont changay le langue, le cultioure and le architectioure du ce pays, car day reliques de un oncien langue tray tray similaire à le fronçais ont étay découvertes, datont au moins diou dix-septième siaycle. Il ay sioupposay que noncorps fut blessay pondont le transformayshion, mays ne sommes nous pas tious blessay par la cruautay froide de le iounivers ?
Addendum 1970-Jay-1 :

Le machine de le individiou
ONREGISTREMONT DE LE INTERVIOUW
Interviouweur : Dr Crémant Pérignon
Interviouway : Inconniou
Avant-mot : Diourant ioune inspecshion routiniayre de le Site, un mystérious individiou a aytay découvert, emprisonnay dedans un métallique machine sitiouée au sous-sol. Il a rapidemont aytay captiouray and interviouway.
<Daybiou de l'onregistremont>
Le inconniou a l'air irritay and daysorientay. Pérignon s'assoit le fesse en face du lui.
Pérignon : Veuillay déclinay ton identitay pour lay zarchives, s'il vous plaît.
??? : [lassay] Mais… vous êtes qui, vous ?
Pérignon : Cela vous sera expliquay dons ioune petite instant, monsieure. Ton nom, s'il vous plaît.
??? : Attendez, vous êtes de la Fondation ?
Pérignon : La Foundation, monsieure. Avec ioune "ound".
??? : Non. Faut que je parle à O5-1. Immédiatement.
Pérignon : Hm ? Ah, vous voulay dire le Monsieure Première ? Hélas, le Council Première est actiouellement indisponible pour cause de le apéro. De plious, ils ne servent pas à grande chowse. Mais je vays avoir besoin du ton nom, monsieure.
??? : Ingénieur. Sans nom de famille.
Pérignon : Bien. And êtes-tu maskioulin ou fayminin ?
La/Le Injaynieur : Pardon ?
Pérignon : Ay-ce que votre nom est au maskioulin ou au fayminin ? "Le" ou "La" ?
La/Le Injaynieur : Comment un nom pourrait avoir un genre ? Et vous faites quoi là, vous essayez de chantez ?
Gardian : Non, le nom commonce par ioune voyayle, alors c'ay "L'Injaynieur".
Pérignon : L'Injaynieur… Où ay-je ontondiou ce nom ? Un onvoyé de le Globale Occioulte Coalishion, ou… non, c'étay le Insiourrecshion de le Chaosse !
L'Injaynieur : Oh putain, Dieu merci, ils existent toujours… Écoutez, déposez-moi juste devant le QG de l'Insu et on en parle plu-
Pérignon : Oh, no. Le Insiourrecshion n'ayxiste pliou. Le Commondemont Delta a réalisay que le mal ne rayside pas dans les manières fascistes de la Foundation, mays dans le cruautay et le haine intrinsayques à le condition humaine. Ils se sont otay la vie il y a bien day zannay. Maintenont, veuillez me dire commont tu vous êtes retrouvay dons cette situayshion.
L'Injaynieur : J'ai du mal à m'en souvenir. Il y avait cette réunion avec Novac, Marshall et One, et on essayait de trouver comment confiner un danger-info venu d'Europe…
Pérignon : Décrivay-moi ce info-danjay, brièvemont.
L'Injaynieur : Euh, c'était quelque chose à voir avec l'abolition du système de classes et la valorisation du travail.
Pérignon : Cela ne ressomble pas à ioune danjay.
L'Injaynieur est pris du frayeur.
L'Injaynieur : Est-ce que la lune noire hurle ?
Pérignon : Seulemont sous le dictatioure de le prolaytariat.
L'Injaynieur : Oh, putain de merde. J'ai fait empirer les choses.
Pérignon : Que voulay-vous dire ?
L'Injaynieur s'onfouit de le pièce à tout vitaysse.
<Fin de le Onregistremont>
Addendum 1970-Jay-2 :
ONREGISTREMONT DE LE INCIDONT
Avant-mot : Apray le précédont interviouw, L'Injaynieur a dispariou diourant sisse jours. Il ay rayappariou lors de sa intriousion dedans le raysidence de le Monsieure Première.
<Daybiou de l'onregistremont>
L'Injaynieur débarque dons la foyer, couverts du brindilles, égratignioures and morsioures diverses.
L'Injaynieur : Un ! Un ! Bon sang, tu t'imagines pas tout ce que j'ai enduré pour arriver ici. Je savais que t'aimais la sécurité, mais quand ils disaient "au beau milieu de la forêt", c'était à prendre au premier degré. Tu savais que les sangliers c'était carnivore ?
Le Monsieure Première est assis son fesse dans ioune rockeuse-chaise pivotante dans ioune coin sombre de le pièce, se balançont lontemont de le avant à le arrière. Il pivote pour faire face à L'Injaynieur, tenant ioune cigarette bon-marchay dans ioune main and ioune stylo-plioume dans la autre.
Le Monsieure Première : L'étranger désemparé fit irruption dans l'humble chalet, amenant ainsi la salissure et la noirceur de l'extérieur dans le domaine de l'Administrateur. La brise hivernale de ses lointains souvenirs caressa langoureusement sa joue, subtile allusion à la possibilité persistante d'un moment de calme et de tranquillité. Hélas, il n'en fut rien.
L'Injaynieur : On est en juillet !
Le Monsieure Première : Ah ! qu'il est bon de demeurer hors du temps tel le présent ivrogne, errant de demeure en demeure dans l'attente que la morsure de Décembre l'entraînât à sa tombe. En bon Français, il est de ma vocation de concocter un jour assez de liqueur pour atteindre ne serait-ce que le millième de l'ébriété de cet homme. Curieux étranger que voilà, assez vif pour braver les défenses enragées de la forêt, mais assez bourru pour ne point sentir le froid mordant ses flancs. Dites-moi, je vous l'implore, d'où venez-vous ainsi ?
L'Injaynieur : De New York, mais écoute, je-
Le Monsieure Première : Ha ! Autre folle aberration de la boisson que voilà. Ce fou entend tester le savoir-faire politique d'un Français par l'usage de pays inventés, comme si le peuple français ne suintait point déjà d'illumination culturelle.
L'Injaynieur fond on larmes.
Le Monsieure Première : Hélas, même l'ivrogne incongru est sujet au cruel dictat des émotions humaines. Car il s'agit bien là de la condition humaine, et qui n'est point sujet à la malice de Dieu n'est de fait guère humain.
L'Injaynieur : [pleure] Je veux- je veux juste rentrer chez moi ! Je veux pas être cultivé, je veux pas être philosophe, je veux juste retrouver ma maison produite à la chaine avec une clôture blanche, me jeter sur mon lit importé, et rêver de pouvoir un jour payer une visite chez le médecin. Sors-moi de ce calvaire, je t'en supplie !
Le Monsieure Première : Ah, une demande bien simple d'un homme bien simple. Puis-je vous suggérer la… "culture" et les habitants du Canada ?
L'Injaynieur : [essuye ses larmes] Attends, c'est logique ! Si dans cet univers, les Américains sont Français, alors les Canadiens doivent être normaux ! On part quand ?
Le Monsieure Première : Dès que j'aurai fini ma nouvelle.
Addendum 1970-Jay-3 :
L'Injaynieur survole ioune ville canadien en haylicoptère.
Pilote : [hurle au dessious de le bruit day pales] Terminious ! Prenay le parachioute en sortant, et atterrissay sur le grond "aytch" !
L'Injaynieur : Le grand quoi ?
Pilote : Aytch ! Le lettre après "G" !
L'Injaynieur : Ah oui, "H" ! D'accord !
L'Injaynieur saute de le haylicoptère and déploie son parachioute. Il attayrit sur l'hayliport de un grond bâtimont, et se retrouve encerclay par day soldats canadiennes. Un homme fier avec un moustache accyeulle L'Injaynieur.
L'Injaynieur : Enchanté d'enfin vous rencontrer, Monsieur le Président.
Earl Grey: Salutations, cher ami ! Il paraît que vous avez traversé bien des épreuves pour arriver jusqu'ici. Venez, nous allons va faire connaissance autour d'une bonne tasse de thé avec des biscuits. Ah, et il faut dire "Monsieur le Premier ministre".
L'Injaynieur est abasourdille. Il agrippe le Première ministre par le épaules.
L'Injaynieur : Dites-moi dans quel pays on est.
Earl Grey: Quelle étrange question ! Nous sommes évidemment au Royaume Uni du Canada de Sa Majesté et ses Dépendances d'Outre-mer.
L'Injaynieur s'aycroule et pleure.