Passé oublié

Rapport mensuel automatique #[ERREUR]

Date : 2, [ERREUR], 41[ERREUR]

Nombre de membres du personnel survivants : [ERREUR]
Diagnostic : Aucune connexion aux implants neuraux des membres du personnel de Classe A à D.
Aucune connexion au Site 1.
Aucune réponse du Commandement O5.
Balise active depuis [ERREUR].
SCP-[ERREUR] toujours confiné.
SCP-[ERREUR] toujours confiné.
SCP-[ERREUR] toujours confiné.
SCP-[ERREUR] déconfiné.

Mise à jour du Rapport mensuel automatique #[ERREUR] :

Transmission interceptée, le 13, [ERREUR], 41[ERREUR] :

source latine détectée
Tentative de traduction
échec partiel de la traduction
Affichage du message partiellement traduit :

“Ici le [erreur] Venros du culte Mechanicus, ce message est transmis sur les toutes les fréquences à ma portée, ce message est à transmettre d’urgence à l’Ordo [ERREUR]. Bâtiment possiblement d’origine humaine découvert sur le monde [ERREUR] le secteur [ERREUR].
Une créature [ERREUR] s’en est prise aux [ERREUR], nous demandons renfort immédiat pour enquêter. Que l’Omnimessie nous protège.

Fin de la transmission

Mise à jour du Rapport mensuel automatique #[ERREUR] :

Multiple forme de vie détectée hors du site.

Fin du rapport

L’inquisiteur Viixus se rendit à la salle de commandement de son vaisseau personnel. La première chose qu’il fit sur place fut d’accéder à son terminal, y entrant ses codes d’accès afin d’accéder aux rapports les plus récents. Malgré cette recherche précise, il tomba sur un très vieux rapport qui semblait dater du début du millénaire. Il décida de le lire.

Ouverture du rapport situationnel 1350001.M41 ; section Adeptus Mechanicus

Le culte Mechanicus, aussi nommé Adeptus Mechanicus, est un groupe indépendant de l’Imperium. Depuis près de dix-mille ans, ses prêtres, serviteurs et skitariis, soldats de l’armée personnelle du Culte, ont assisté l’Imperium en bien des occasions. Ce culte, ayant débuté sur Mars dans le secteur Sol, s’occupe principalement de la conception et de la maintenance de l’équipement impérial.

Ouverture du rapport situationnel 1132001.M41 ; section Imperium

Depuis près de dix-mille ans, l’Imperium a réunifié les êtres humains de la galaxie, mené dans cette Grande Croisade par l’Empereur-Dieu en personne afin d’apporter Sa lumière à Ses enfants perdus dans l’immensité de la galaxie. Durant cette Croisade, dix-huit légions des Adeptus Astartes, aussi nommés Space Marines, anges de la Mort créés par la Toute-puissance de l’Empereur-Dieu et menés par les primarques, fils de l’Empereur, ont mené la Grande Croisade avec l’appui du Culte Mechanicus et celui de la garde impériale. Mais la pire hérésie fut commise quand Horus l’Archi-traître trahit l’Empereur-dieu, aimé de tous, et mena ses légions traîtres jusqu’aux portes de Terra, n’hésitant pas à abattre ses propres frères et blesser mortellement l’Empereur, aimé de tous.
Aujourd’hui, et ce depuis dix-mille ans, l’Empereur siège immobile sur le trône doré de Terra en étant ni tout à fait mort ni tout à fait vivant, nous protégeant des forces maléfiques du Warp, aussi appelé Chaos, de ses démons et des quatre puissances de la ruine. C’est grâce à l’Ecclésiarchie, transmettant les enseignements du Culte Impérial et du Lectio Divinatus, que l’humanité peut combattre ces forces en invoquant les miracles de l’Empereur-Dieu.

Ouverture du rapport situationnel 1423001.M41 ; section Inquisition de l’Empereur

“Pendant dix-mille ans, l’Inquisition de l’Empereur a mené une guerre secrète pour défendre l’Humanité. Nous restons vigilants dans les ténèbres. Nous chassons parmi les ombres. Nous apportons le jugement sur les mutants, les traîtres et les hérétiques. Nous purgeons les mondes de la souillure qui rôde parmi les étoiles. Nous sommes les inquisiteurs, nous ne connaissons pas la peur, car nous sommes ce que vous craignez.” — Inquisiteur inconnu.


Un message urgent perturba Viixus lors de sa lecture. Le message semblait lui avoir été relayé par les avant-postes du Segmentum Ultima. Un Technoprêtre du Mechanicus, de rang Magos, avait rencontré des problèmes lors de l’exploration d’une ancienne planète possédant des bâtiments d’origine humaine apparente. Selon le message, une créature xéno aux propriétés inconnues s’en était prise aux skitariis qui avaient été envoyés en exploration sur la planète, demandant le soutien urgent de l’Ordo Xenos.

Nul ne pouvait ne pas remarquer le sourire de Viixus : un nouveau défi à relever, un défi digne de l’Inquisition et, selon les informations de l’avant-poste, il était le premier à avoir reçu ce message. Il envoya un accusé de réception à l’avant-poste et transmit un ordre de navigation aux coordonnées reçues, aux Navigators, ces êtres qui guidaient les navires de l’Imperium dans les mers du Warp.
Le voyage risquait d’être long et Viixus devait se préparer et envoyer son rapport à la Sainte Terra. Regardant une dernière fois le pilote et l’équipage se préparer à entrer dans le Warp, il prit la direction de ses appartements.

Comme il l’avait prédit, le voyage dura près d’un mois. Mois qu’il passa à faire entretenir son armure et ses armes et à prier dans la chapelle du vaisseau afin d’obtenir la bénédiction de l’Empereur-Dieu. Le pilote, le Capitaine Lurco, le prévint par communication vox de la sortie imminente du Warp. Ainsi, Viixus se dirigea vers les hangars, prenant à ses côtés son cercle intérieur, composé d’une unité de Tempestus Scion, aussi appelé Stormtrooper et d’un Technoprêtre, Derhantius.

Le voyage jusqu’à la planète sans nom fut calme et les communications du Magos Venros inexistantes malgré le nombre d’essais. Derhantius estima la probabilité que le Magos soit encore vivant proche de zéro et qu’il serait une perte de temps d’aller le chercher. Viixus acquiesça et ordonna au pilote de continuer sa route vers les coordonnées du bâtiment cible. Le transport Valkyrie n’avait aucun hublot, juste des écrans reliés aux sondes du vaisseau, dévoilant la disposition des bâtiments. Ceux-ci ressemblaient aux immenses complexes du Moyen-Âge technologique et devaient dater d’avant même la Grande Croisade. Malgré cela, ils semblaient avoir été construits récemment. Il ne fallait pas être un prêtre du Mechanicus pour apercevoir le sourire qu’arborait Viixus dans la pénombre du Valkyrie.

Le Valkyrie se posa à moins de trois cents mètres du complexe, celui-ci était composé d’une ancienne forme de béton, quelques fenêtres qui ont à envier les chapelles des plus lointains mondes impériaux. La porte quant à elle était d’un alliage d’acier inconnu, arborant un symbole pour les moins étranges, un petit cercle intérieur, entouré d’un plus grand cercle et tous deux traversés par trois flèches désignant l’intérieur. Le Prêtre, l'inquisiteur et quatre membre Tempestus Scion sortirent du transport pour se rendre plus près du bâtiment.


Malgré les différents câbles et mécanismes masquant le visage du Technoprêtre Derhantius, il était possible de voir son oeil organique, rare preuve de son humanité, dilaté. Il pouvait sentir ses circuits vrombir sous l'excitation. Ses cogitateurs, des machines permettant d’analyser et trier des données, n’arrivaient pas à analyser l’acier qui était face à lui. Une seule explication plausible traversa ses circuits : il avait affaire à un acier issu d’une technologie xéno.

Le Prêtre approcha doucement de la structure, prêt à la toucher de ses trois mains robotiques sous, il le savait, le regard inquisiteur de l’Inquisiteur. Une chose le dérangeait : malgré l’acier xéno, la structure était d’origine humaine. Une hérésie pure et simple, l’idée même d’associer la technologie des fils de Mars avec des matériaux xénos l’excita, ses circuits chauffaient à l’idée d’en savoir plus. Plus il analysait ce qu’il avait devant lui, plus sa confusion augmentait. La porte était sans poignée, sans système d’ouverture connu, seule une boîte noire possédant une fente se trouvait près de la porte.

— D’après mes analyses, commença le Prêtre tout en se retournant, il n’y a aucun moyen apparent d’ouvrir cette porte. Mais elle semble d’origine humaine malgré cet acier, peut-être que les prières sacrées fonctionneront, Inquisiteur ?
— Je vous en prie, Prêtre.
— <Ô Omnimessie, écoute la voix de ton serviteur qui t'implore. Je te demande humblement d'ouvrir cette porte. Ô Omnimessie que ta voix se fasse entendre.>

Le Prêtre resta devant la porte à prier l’Omnimessie, ne s’inquiétant pas du temps qui défilait autour de lui. Seule l’inquiétait sa prière, pour qu’elle puisse atteindre les oreilles de l’Omnimessie.

Entendant les chants du Prêtre, l’Inquisiteur décida de le laisser à sa prière et ordonna le déploiement de Tempestus Scion afin de fouiller les alentours en quête des équipes de la flotte expéditionnaire du Mechanicus. Il s’éloigna du Prêtre, laissant trois hommes auprès de lui.

Le paysage était mort, seules quelques plantes desséchées poussaient sur ce monde. Il pouvait entrevoir quelques habitations au loin, des habitations qui lui semblaient primitives même comparées au bâtiment qui se tenait derrière lui. Les rapports vox fusaient, mais aucune trace du Mechanicus. Une seule explication : ils avaient pénétré dans le bâtiment… mais pourquoi ? Pourquoi ne pas avoir laissé d’unités à l’extérieur ? Pourquoi n’y avait-il pas de trace d’un seul Skitarii ? Rien n’avait de sens en ce lieu. Une sensation étrange montait en Viixus, indescriptible. Il ne savait quoi faire, ses envies étaient contradictoires, son instinct humain lui criait de quitter cette planète et de ne jamais revenir sauf pour y appliquer un Exterminatus, et son instinct d’Inquisiteur lui criait d’enquêter sur les évènements.

Une communication vox lui informant de la fin de la prière du Prêtre le fit revenir devant la porte étrange. Plus il voyait ce symbole, plus il lui donnait des sensations étranges. Était-ce un nouveau Culte du Chaos ? Ces cultes vénérant des Dieux Sombres ne vouant qu’à ravager le monde matériel. Une différence significative comparée à sa première visite était la porte ouverte. Qu’importaient les paroles du Prêtre, il avait réussi à ouvrir la porte. Peut-être que les réponses allaient enfin arriver et qu’il pourrait quitter cet endroit à jamais, mais seul l’Empereur avait la réponse à ces questions.

Viixus entra en premier. L’intérieur était éclairé, étonnamment, et le bâtiment semblait pleinement fonctionnel, alors pourquoi était-il vide ? Pourquoi était-il sur un monde mort ? Plus il avançait, plus il voyait de chose, plus le nombre de question augmentait et le nombre de réponse stagnait. L’endroit était bel et bien primitif ; soit celui-ci avait régressé depuis sa perte de contact avec la Sainte Terra soit il avait été abandonné depuis bien plus longtemps qu'initialement pensé. Mais une chose contrastait avec l’absence d’êtres vivants : il n’y avait pas de poussière, pas de saleté, pas de dégâts, rien n’indiquait le passage du temps, comme si celui-ci était resté figé pendant des millénaires en un instant précis.

Viixus avança avec Derhantius et quelques Tempestus Scion, leur groupe de six s’aventura dans les profondeurs de ce bâtiment intemporel, des lumières rougeâtres clignotaient au sol, des flèches apparaissaient par moment, indiquant une direction qu’ils suivirent, se demandant ce qu’il pouvait y avoir au bout. Ils avancèrent de couloir en couloir en suivant toujours cette lumière rouge, seule piste indiquant une direction en dehors de termes qui leur étaient inconnus et que le prêtre analysait au fur et à mesure de leur avancement. Arrivés au bout des flèches, ils découvrirent une nouvelle fois cet acier, mais cette fois-ci la porte était immense, comme un bunker pour réfugiés.

La colère monta en Viixus, il s’attendait à autre chose, il s’attendait à des réponses, mais il savait qu’il ne trouverait que des cadavres derrière cette porte. Il devait passer sa colère sur quelque chose, il le sentait. Il agrippa le pommeau de son épée énergétique, dégainant et activant celle-ci. Même Derhantius n’eut pas le temps de réagir lorsque Viixus commença à passer sa colère sur la porte face à lui, coupant aisément à travers celle-ci. Alors que Derhantius et les quatre Tempestus Scion approchaient pour arrêter Viixus, tous s’arrêtèrent lorsqu’ils entendirent un cri de terreur provenant de l’intérieur du bunker.


La seule chose qui accompagnait sa solitude était les souvenirs gravés en lui. Comment en était-il arrivé là ? Dans les dernières années avant l’incident, la Fondation s’était grandement étendue avec l’exploration et la colonisation spatiale. De nouveaux Sites avaient vu le jour sur d’autres mondes, même des mondes considérés comme “mort”, recevant donc les équipements adéquats à assurer la vie des membres de la Fondation.

Il se souvenait du jour où tout changea pour lui, c’était un jour comme les autres au Site Aleph. Il était dans son bureau, parcourant ses mails et les rapports qu’on lui transférait. Il s’était attardé sur le dernier mail qu’il avait reçu, un ordre de transfert temporaire pour apporter de nouveaux équipements à un nouveau Site. Cette idée lui plaisait, après tant d’années, on reconnaissait enfin son talent. Les idées de nouveaux équipements fusèrent dans ses circuits. Marc Benjamin, Benji, pourrait façonner un nouveau Site par ses propres créations. Heureusement pour tous ses derniers geckos, l’affectation était temporaire car ceux-ci n’auraient pas apprécié passer le restant de leurs jours sur un monde mort.

Il devait préparer ses affaires, récupérer quelques outils qui trainaient dans le laboratoire et finir de transférer les plans de ses dernières inventions à ses collègues. Le délai qui lui fut imposé était court, mais cela ne devrait pas lui prendre trop de temps.

Le lendemain, il était prêt, ses affaires avaient été montées dans l’appareil, ses geckos étaient en sécurité parmi elles et, lui, regorgeait d’idée pour ce Site. Sans compter la durée du voyage, il ne devrait passer que quelques mois là-bas et il les utilisera pour le mieux. Il n’était pas le seul à être envoyé dans ce nouvel environnement, certains des membres transférés y étaient envoyés de manière permanentes, d’autres non, mais c’était cela la vie dans la Fondation. Tout pouvait changer du jour au lendemain lorsqu'on travaillait avec des anomalies pouvant altérer les fondations même de la réalité.

Le voyage dura près de trois semaines où il passa son temps à préparer des plans, imaginer de nouvelles machines, de nouveaux robots afin de pouvoir commencer à révolutionner le Site dès son arrivé. Une chose le dérangeait, le voyage avait déjà duré trois semaines, mais au fond de lui, il sentait qu’une chose n’allait pas. Il relut l’ordre de transfert une nouvelle fois, examinant attentivement la partie décrivant le temps du voyage. Il n’aurait dû durer qu’une dizaine de jour, pas plus de quinze, mais il avait déjà passé vingt-et-un jours. Il se dirigea vers la salle commune et vit le visage de ses collègues, des sourires forcés et des malaises cachés, avant qu’une annonce ne soit faite par les haut-parleurs.

— Arrivé au Site Kaph-3, veuillez excuser le retard, on demandera une analyse de la situation dès notre retour.

Le soulagement fut général, certains avaient dû imaginer le pire tout en décidant de patienter. Benji n’y fit pas plus attention, il était arrivé et ses geckos étaient en bonne santé, c’était tout ce qui lui importait pour le moment, il allait maintenant se mettre au travail.

Durant les mois qui suivirent, il ne fut pas surpris d’apprendre que quelques anomalies avaient déjà des cellules de confinement dans le Site, malgré sa nouveauté et ceux-ci tenaient, alors il n’y avait rien d’alarmant de ce côté. Ce qu’il y avait de plus alarmant était le ravitaillement qui prenait de plus en plus de retard à chaque allée et venue, il devenait de plus en plus difficile de maintenir le Site, cela n’était pas dans les habitudes de la Fondation d’avoir ce genre de problème de manière aussi récurrente et pire, au vu de la situation qui s’aggravait.

Cela faisait plus de huit mois qu’il était là, il aurait déjà dû être parti, mais plus aucun ravitaillement ne venait depuis près de trois mois, ils avaient déjà consommé toutes les réserves et des pannes arrivaient de plus en plus fréquemment. Cette fois-ci, ce ne fut pas une panne qui le dérangea, mais une alerte qu’il n’avait jamais voulu entendre en dehors des exercices. L’alarme avait retenti dans tout le Site, tous les membres s’étaient mis à suivre les protocoles avec plus ou moins de panique et de débordement. Les gardes faisaient leur travail à la perfection, les guidant vers les bunkers d’urgences, gardant leur sérieux et ne cédant en rien à la panique malgré les événements. Après un temps donné, la porte en acier spécial se referma, scellant la destinée de ceux qui avaient eu le malheur d’avoir du retard. Benji, quant à lui, avait eu de la chance, son laboratoire se situait non loin du bunker, mais il ne put sauver tous ses geckos, il espérait en tout point que rien ne leur arriverait d’ici à ce qu’il puisse ressortir.

Il avait perdu le compte des jours, des semaines ou même des mois, le bunker était tombé à court de nourriture avant que les secours n’aient pu arriver, certains tentèrent leur chance, mais ils n’avaient plus eu de nouvelle d’eux. Combien de temps allaient-ils devoir attendre ? Combien de temps allait-il devoir attendre ? Plus les jours passaient, plus le nombre de mort augmentait, que ça soit par la faim ou par les bagarres. Il fut le seul survivant, si le mot pouvait fonctionner pour un être comme lui, mais il était seul et il devait continuer d’attendre car, il le savait, la Fondation allait envoyer des secours, ils ne pouvaient le laisser comme cela. Ils ne pouvaient le laisser à la merci des ces choses qui rodaient dans les couloirs du Site.

La seule chose qui accompagnait sa solitude était les souvenirs gravés en lui. Chaque jour, il fouillait ses souvenirs, il essayait de se souvenir de ses amis, du bon temps, afin de garder espoir. Un son attira son attention, il entendit un bruit sourd au niveau de la porte du bunker. Il s’approcha, doucement, afin de pouvoir identifier le son, quand soudain une partie de la porte fut coupée. La seule réaction qui traversa ses circuits fut la peur, ses sous-programmes le forçant à agir de la manière la plus humaine possible le firent pousser un cri de terreur.

A suivre

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