Interlude : Une Exposition
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Une photographie de C'est Mercredi tous les jours.

Trouvé en 2012, une pièce de l’exposition Librairie :

"Debout sur les épaules du Phénix : Découverte et Redécouverte d’un anart Post-Millénial RéCréationniste"

Michael Petrakovich
Canadien, 1976-2043

C’est Mercredi tous les jours
2003-04
Le sang, la sueur et la peur sur la toile ;
Essence sur genévrier.
Don de l’artiste à la Librairie.

La première pièce de M. Petrakovich suite à son départ du mouvement artistique "shock et destroy" surnommée "Et Maintenant, On Est Cool ?", C’est Mercredi tous les jours est la livraison du point de vue de l’artiste dans sa lutte identitaire dans laquelle il se redéfinie comme un membre de l’école RéCréationniste de anart plutôt en rejetant son vécu de Pseudo-Déconstructionniste.

Les références au style traditionnel qu’est le suréalisme est souligné par l’utilisation d’une encre nouvelles, composée d’échantillon de sang de Picasso, Dali et Masson, combinée avec des extraits de sueur de l’artiste lui-même. Petrakovich laisse enfin libre court à sa maitrise des effets synesthésiques et offre des expériences tactilo-gustatives et audito-proprioceptives. Notez aussi l’utilisation d’ocre et de carmin qui provoque une douce sensation d’ivresse, un effet cognitif Petrakovich pour une appréciation intenses des œuvres.

Le deuxième et moins connu effet a été décrit par l’artiste comme "j’emmerde le copyright" et il consiste à la modification des toutes représentations dérivées, c’est-à-dire les photographies, les croquis fais à la main, les projections astrales et les représentations astrales, de manière à ce que la majorité du texte soit remplacée par la phrases suivante : « Allez-vous faire foutre, bande de salopes. Il faut le voir pour le croire. »

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