Lu dans le cadre du club de lecture.
No-voté car j'ai vraiment du mal avec le pathos en vers cent pour cent premier degré, mais aussi et surtout parce que les métaphores sont très confuses ("Je ne peux dés-entrelacer mes sentiments" : comme aucun n'a été mentionné on ne comprend pas bien d'où vient le noeud métaphorique ; "Un monstre vieux comme le monde, intemporel" : la métaphore se contredit toute seule ; "Je sens fleurir en moi la lueur du Seigneur" : on n'a pas d'équivalent français pour 'mixed metaphor' et c'est dommage parce que c'est complètement ça vu qu'ici on a une lueur qui 'fleurit'). Ça mériterait sans doute une réécriture pour virer les lourdeurs et lesdites métaphores bancales.