J'apprécie particulièrement ce conte, car il a réussit à jouer sur la corde si particulière de l'empathie.
Il ne s'agit pas de chercheurs, d'agents ou de dirigeants tout-sachants. Il s'agit de gens lambda, de jeunes personnes un peu complotistes, et qui se retrouvent face à l'angoisse de la mort, face à quelque chose qui les dépasse et dont elles ne peuvent se prémunir.
Certes, sur la forme, c'est très kikoolol et compagnie. Après tout, c'est un forum pas très sérieux. Mais le fond est cruel. Je pense qu'on peut toutes et tous s'imaginer facilement à leur place.
Et c'est cela qui est glaçant.