La Fondation SCP a vraiment besoin de l'autorisation d'un juge pour récupérer un SCP ? Ça me semble étrange. Et s'il avait dit non ?
En fait, je me suis renseignée un peu sur le sujet des successions "gelées" et administrées par un avocat. Ce dernier peut effectivement vendre, ce qui rend la transaction crédible dans mon contexte fictionnel, mais uniquement avec l'autorisation du juge. Ce n'est donc pas la Fondation qui a "besoin" de l'autorisation d'un juge mais l'avocat. Maintenant, il est entièrement possible d'imaginer les pressions effectuées indirectement par la Fondation pour éviter la réponse du non ! C'est un petit cadeau aux lecteurs imaginatifs qui aiment à ancrer la Fonda dans le réel.
Le passage sur la violence dit que l'anomalie n'est "que statistique" et qu'après une évaluation psychologique, le rapport des sujets à la violence n'a pas changé, avant de montrer tout un tableau d'expériences où… Leur rapport à la violence change et qu'on est loin de la légère anomalie statistique.
Certes, j'ai un peu de mal en fait à exprimer l'idée que les sujets ne sont pas particulièrement rétifs à la violence, au contraire, ils y sont aussi ouverts qu'avant, ni plus, ni moins (d'où la formulation "leur rapport à la violence ne change pas"). C'est vraiment une incapacité physique plutôt qu'un choix mental.