Ce commentaire a pour objet de résumer les éléments de contexte permettant de comprendre le rapport, surtout pour un francophone ayant très peu de connaissances sur la culture polonaise (ces éléments sont tirés du traducteur anglais du rapport) :
L'un des écrivains les plus connus en Pologne est Jan Kochanowski. Il s'agit d'un auteur de la Renaissance ayant résidé à Czarnolas avec sa famille. En 1580, une tragédie l'a frappé : l'une de ses filles, Urszulka, est morte du typhus. En se fondant sur son expérience, il a écrit son œuvre la plus connue, les Lamentations : une série de mélopées qui expriment le chagrin de sa mort. Ce rapport propose un point de vue alternatif sur cette histoire. Bien que nous ne connaissions pas l'endroit exact où a été retrouvé le coffre, grâce à l'ASIA, nous savons qu'il a été retrouvé à Czarnolas, la ville ou Jan et sa famille habitaient. Avec cette information, il est possible de déduire que le corps à l'intérieur du coffre est celui d'Urszulka. Mais son anomalie n'est pas seulement le coffre, qui cause du chagrin. Il y a un secret plus sombre dans cet article. La dernière phrase de l'article indique :
Sur sa poignée furent trouvées des traces de sueur d'un individu inconnu. Les tests génétiques ont révélé un lien entre cet individu et SCP-248-PL.
Qui cela pourrait être ? Mais bien sûr ! C'était Jan depuis le début ! Bien que ses motifs ne soient pas expliqués dans l'article, il est possible de déduire que c'est lui qui a tué sa petite fille innocente."
Je rajouterai pour ma part que le titre de l'article, "Larmes d'Héraclite", est une référence au premier vers de la première Lamentation, dont le début pourrait être traduit ainsi (le lecteur excusera les dissonances poétiques d'un traducteur peu familier avec la poésie polonaise) :
Toutes les larmes d'Héraclite, toutes les mélopées
Et les hymnes funèbres plaintifs de Simonide,
Tous les cris de tristesse et airs lents du monde, tous les chagrins,
Les mains tordues, les yeux humides, les lamentations et les épitaphes,
Tous, venez tous, arrivez de tous les coins,
Aidez-moi à pleurer ma petite fille, ma chère enfant,
Que la cruelle Mort a arraché avec tant de force
Hors de ma vie, sans me laisser de recours.