J'ai adoré cette vibe creepypasta et les effets visuels qui donnent un gros plus à l'article ! Prends mon upvote +1
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Dans l'orbite de Jack / Discussion
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J'ai plutôt vu la paranoïa que la peur d'être regardé. Mais c'est plutôt très bien écrit, c'est assez flippant , c'est un upvote
La vibe creepypasta couplée avec les effets visuels rend le conte très agréable à lire. J'upvote donc cet article. Cependant, j'ai remarqué une petite faute mais rien de grave : "Tu est là ma petite chérie ?", c'est le "est" qu'il faut changer par "es".
Très sympa. Perso je ne suis pas très fan des creepypasta, mais j'étais quand même mal à l'aise vers la fin. +1
Je garderais un œil sur elle de toute façon.
AaaAaAah…
C’est parfait, le champ lexical de la vision présent en permanence m’a bien angoissé. J’ai juste pas très très bien compris la fin, mais il n’empêche que c’est très cool en plus de remplir les conditions du concours. Upvoté !
Pas vraiment fan de cette entrée du concours, et ce pour plusieurs raisons :
- Au niveau de la narration, elle reste trop simple. On a en effet beaucoup de répétitions, de formulations maladroites, de retours à la ligne sauvages… Ma lecture n'a pas été douce sur ce point-là. J'ai eu du mal à avancer, revenant en arrière afin de m'assurer que l'on parlait bien de la même chose, me questionnant si ce terme dénotait d'une intention de l'auteur ou d'une simple maladresse, trouvant les dialogues très basiques et peu personnalisés. Les personnages en effet échangent des répliques, ils ne m'apparaissent pas discuter.
- Ensuite, malgré le tag ainsi que les commentaires de Macro, Krypton et Owen, je n'ai pas du tout eu l'impression de faire face à une creepypasta. Et cela parce que ma suspension consentie de l'incrédulité n'a à la fois jamais été mise en place, ni même tenté d'être conservée. On a du mal à déterminer les règles de l'univers que tu mets en place, mais aussi à les considérer comme crédibles car elles sont sans cesse brisées. Sur ce dernier point, je tiens à insister en prenant comme exemple les réactions des personnages. La plupart du temps, ceux-ci agissent sans vraiment de raison. Leurs décisions semblent sortir de nulle part, et je passe plus de temps à me demander "Mais pourquoi untel fait ça ?" plutôt qu'à progresser dans l'histoire. C'est pour moi ce manque de cohérence qui empêche le lecteur de se sentir impliqué dans l'histoire, et donc la vivre avec les personnages. Je n'ai fait que lire ce conte, pas le ressentir. Les personnages me semblaient si éloignés de la réalité et imprévisibles qu'au final, j'ai abandonné ma volonté de m'immerger dans l'histoire.
- Au niveau de la cohérence dans l'univers de la Fondation, j'avoue ne pas l'avoir trouvée. La fin laisse entendre que c'était une diabolique organisation scientifique secrète qui menait une expérience, mais laquelle ? Ça ne peut être ni la Fondation, ni la CMO, ni les Laboratoires Prometheus, alors c'est qui ? Quelle est la place de ce conte dans l'univers du site ? Qu'est-ce qui le différencie d'une simple creepypasta trouvée sur le net ?
- Pour le concours, tu es tombé dans le grand piège : tu as écrit sur la phobie, et non pas dans le but de provoquer la phobie.
Bref, c'est pour ces raisons que j'appose un vote négatif, qui restera après le concours.
Alors le but du concours est, je le rappelle, " tenter de la faire ressentir", en parlant de la peur en question. Bien entendu, cette consigne est plutôt ardue. On peut décrire une peur, on peut la montrer, mais la faire ressentir, voilà qui relève d'une toute autre difficulté. Et si tu fais ressentir effectivement le fait que cette enfant a peur des regards, je n'ai pas du tout ressenti cette peur, je n'ai même pas eu l'impression qu'on cherchait à me la faire ressentir. Donc, si on s'en tient à cela, ce serait un novote, parce que cette consigne est extrêmement complexe et que pénaliser sur cette base seule serait un peu bâtard.
Maintenant, quant au conte en lui-même, qu'en ai-je pensé ?
Quelques fautes de syntaxe, notamment sur les modes verbaux, les temps, tout ça. Une narration très inégale et incohérente avec les dialogues dans la forme. Un côté très haché par moments qui peut faire ressentir une forme de malaise, notamment sur la fin mais qui moi me dérange parce qu'il me laisse une impression de bricolage. Donc, sans détailler tous les moments qui m'ont sorti du conte (mention au journal avec la police qui aurait pu être bien mieux choisie mais je comprends la difficulté), je n'ai pas vraiment apprécié et l'ambiance et le conte. L'image avant la fin, avec la mention des "choses terribles" m'a aussi plutôt sorti du conte.
C'est pour ça que je downvote ce conte. Parce que selon moi il y a de nombreuses choses à améliorer et parce que je ne sais pas s'il sera possible de le faire.
Je tiens à m'excuser, je n'y suis pas allée avec des pincettes.
[Avis global] Pour être franche, je trouve que c’est mal écrit. J’ai l’impression que ça a été écrit peu de temps avant la fin du concours. Ce n’est pas assez développé à mon goût, il y a des fautes, des incohérences, ça se voit qu’il a été posté en « critique » 4h30 avant la fin du concours. Je ne vois pas le lien avec la Fondation, ni même l’univers qui gravite autour de cette dernière. De plus, je n’apprécie pas les creepypastas, si c’était pour en lire une, j’aurais été sur « Creepypasta From The Crypt », pas ici. Pas de chance, je l’ai lu avant que le tag soit mis. Sinon le titre est sympa.
[Critiques] La police d’écriture que tu as choisie pour le journal est assez illisible. Cela ne fluidifie pas la lecture.
Mercredi 28/10/2006
Dans l’histoire, nous sommes donc en 2006, qui plus est à la fin du mois d’Octobre. Dans quel pays ou dimension parallèle vit-elle pour avoir cours fin Octobre ? Mais aussi, avec une rapide recherche sur internet, on remarque que le 28 Octobre, c’était un Samedi. Pas très cohérent donc.
- Cécile, j’ai eu un appel du proviseur, il paraît que tu as raté les derniers cours de cet après-midi ?
Il a rien d’autre à faire le proviseur ? Je sais pas si tu habites en France, mais dans les collèges français, il y a en général une « vie scolaire » et des surveillants, pourquoi c’est le proviseur qui appelle ?
- Votre fille semble avoir une montée de colère passagère.
Non, sérieusement ? J’espère qu’ils sont bien remboursés par la Sécurité Sociale, payer 25 € pour entendre ça, clairement ça n’en valait pas la peine. Aussi, elle lui dit qu’elle est victime de harcèlement, mais non ça ne lui traverse pas l’esprit d’en parler à son père. D’où sort ce médecin ? Elle est au minimum paranoïaque et a besoin de voir un psychologue.
Une publicité pour un service de surveillance. « NOUS SOMMES L'ŒIL QUI SURVEILLE »
Il est où le point, c’est l’affiche qui l’a mangé ? On fait mention de téléphones et de tablettes avec un smartphone en fond … Mais c’est clairement anachronique et incohérent. En 2006, les téléphones n’étaient pas encore tactiles, il n’y avait pas encore de tablette. La géolocalisation et la « scurisation de véhicules » me posent aussi problèmes. Pourquoi y a pas de majuscule au nom de la rue ?
Les médicaments semblent contenir ses crises de colère.
Là c’est moi qui suis en colère.
Je vais m’arrêter là, ton conte a aspiré mon énergie vitale, il y a encore d’autres incohérences.
Après cette lecture, je n’ai pas ressenti de peur d’être observée, en revanche j’ai fait une crise d’angoisse à cause de certains de mes traumatismes qui sont présents dans ton conte. J’apprécie assez peu que le harcèlement scolaire soit une source de divertissement pour certain, ce qui me semble normal. Le harcèlement et le fait que personne ne le remarque, que cette souffrance soit invisible aux yeux des autres. Ça me met juste hors de moi, je ne supporte pas. Alors que certains trouvent ça peu en parti réaliste, moi ça a été ma réalité. Là-dessus, je tiens à te rassurer : je n’ai pas empoisonné mes parents et je ne me suis pas arrachée les yeux. Je ne te tiens pas responsable de ça, tu n’y es pour rien, mais c’est surtout de là que viens mon downvote. Sinon je n’aurais juste pas voté.
J’espère prendre plus de plaisir en te lisant à l’avenir.
Bien que je sois moi aussi tombé dans les travers de la raillerie par le passé, et que je comprenne qu'il soit parfois difficile de critiquer avec tact quelque chose que l'on n'a pas aimé, ce n'est pas parce que le sujet t'a touché personnellement que tu peux te permettre certaines formulations très désagréables, notamment ce "Je vais m’arrêter là, ton conte a aspiré mon énergie vitale".
Si tu ressens que quelque chose t'affecte trop pour faire preuve de diplomatie, nous aurions, nous aussi, préféré que tu "gardes cela pour toi". S'il devait y avoir un autre incident du genre, il y a des risques que cela passe en disciplinaire, te voilà prévenue.
Je suis plutôt d'accord avec Andromeda (premier collapsible seulement), mais ce que j'ai pas aimé c'est surtout le fait qu'on dirait qu'il n'y a pas vraiment de lien entre les événements, qu'ils servent juste à montrer l'évolution du personnage et à faire des références sur les yeux etc. Évolution que je trouve fort rapide d'ailleurs, certes elle a vécu des trucs bizarres pendant cinq jours, mais ça reste seulement cinq jours, pour peter un plomb de la sorte elle devait être déjà pas mal instable.
Et puis il y a le gamin, il l'espionne, l'harcèle, mais lui dit qu'il fera la tournée des bonbons avec elle ? On dirait le genre d'enfant qui embête son amoureuse parce qu'il l'assume pas mais en version extrême. Ça plus le proviseur, le médecin et les parents, c'est tout des personnages qui agissent bizarrement je trouve.
Du coup je vais lâcher un petit -1.
Les dessins sont une bonne touche, même si je ne suis pas exactement sûr de leur sens, et j'ai apprécié certains moments qui ont cette note de malaise, comme le moment où elle déchiquette ses peluches avec une grande violence.
Mais je rejoins sans doute les critiques faites (comme d'habitude, je lis les commentaires après ma lecture pour ne pas trop m'influencer) quant à la maladresse de la fin, où on ne comprend pas vraiment l'implication d'une quelconque expérience ou organisation scientifique là-dededans, avec cette espèce de tentative de mise en abîme essayant de briser le quatrième mur que je ne suis pas sûr d'avoir compris. Ma supposition, c'est qu'on est en train de regarder notre propre écran, comme si on se surveillait nous-même, mais le fait que ce soit une image fixe et que la transition vers du méta soit plus que brutale et étrange ne me convainc définitivement pas.
Il y a également la narration qui, bien qu'elle peut avoir l'avantage d'aller vite au cœur des choses, paraît très, très maigre et ne facilite pas le naturel déjà abîmé des échanges entre certains personnages, notamment le garçon dont on ne comprend vraiment pas la relation avec la protagoniste. C'est lui, l'expérience, le danger, étant donné qu'il semble connaître tous ses faits et gestes ? Alors pourquoi c'est la victime qui lui fait peur à la fin ? Pourquoi il la harcèle avant de faire semblant d'être son ami ?
Il y aurait beaucoup de choses à dire niveau forme, mais je pense que faire une critique moins générale que ça serait faire de l'overkill.
Je pourrais aussi mentionner le fait qu'on parle davantage d'une personne vivant la phobie au lieu d'un conte essayant de la faire ressentir, mais j'ai l'impression que c'est ce qu'essaie de faire cette fin méta, alors je vais juste me contenter de dire que tout ceci m'a surtout semblé être maladroit.
Malheureusement, ce sera un downvote pour moi.
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