Décidément, ça envoie, j’attendrais patiemment la suite ! De magnifiques tournures de phrases qui ont suspendu ma lecture un instant, telles que "des poitrines s'interposèrent entre un croc et leur cœur, une balle et leur dos."
Ah mais je commence bien ma journée moi.
Un bémol a corriger peut-être, sauf si Maurice est soumis à une boucle temporelle aléatoire (une particularité de l’Île des Heures peut-être), le texte répète mot pour mot une de ses phrases :
« Qu'est-ce qui se passe ?
– Je ne sais pas, avoua Maurice. Il n'y a jamais eu d'émeute. Des serpents parfois, ouais, qui s'infiltraient. Mais cette fanfare, j'sais pas ce que c'est. »
Prudemment, l'homme s'approcha des barreaux, jeta un coup d’œil, leur signifia que le couloir avait été déserté par les gardes. Il secoua deux trois fois à la porte de leur cellule, mais elle était verrouillée.
« Merde. Pour une fois qu'il se passe un truc.
– Je ne sais pas, avoua Maurice. Il n'y a jamais eu d'émeute. Des serpents parfois, ouais, qui s'infiltraient. Mais cette fanfare, j'sais pas ce que c'est. »
Enfin, vu la taille du morceau, on aurait tort de s’en formaliser !